Avec ce sacre, acquis au cours d'une finale maîtrisée de bout en bout, le club catalan met fin à une longue quête depuis son unique titre décroché en 2003 à domicile.
Il lui permet de prendre sa revanche sur l'Olympiakos qui l'avait battu en 1997 lors d'une des cinq finales perdues par le champion d'Espagne, peu verni en Euroligue jusque-là, toujours présent - c'était son onzième Final Four, un record - mais rarement gagnant à l'arrivée.
L'Olympiakos rêvait de succéder au Panathinaïkos Athènes, son rival honni éliminé avant même les quarts de finale. Mais le Barça, peut-être un chouia moins impressionnant sur le papier, lui a claqué la porte au nez grâce à un collectif et une cohésion supérieurs.
C'est grâce à ces vertus que le Barça a construit son succès en première période où il a fermé à double tour l'accès à sa raquette, livrant un effort énorme en défense pour dresser un rideau de fer devant les Grecs, pris à leur propre jeu.
Contrés, les joueurs de l'Olympiakos ont pris l'eau d'entrée (28-19, 10e, 47-36 à la pause) face aux Catalans emmenés d'abord par Pete Mickeal (14 points) avant que Juan Carlos Navarro (21 points) ne prenne le relais.
Au début du troisième quart-temps, l'Olympiakos a bien tenté de se rebeller, revenant à cinq points (52-47, 26e) au prix d'un énorme effort. Mais un superbe passage, comme en demi-finale, du Sénégalais Boniface Ndong et quelques flèches de Navarro ont permis au Barça de prendre de nouveau le large (64-50, 30e) et de s'envoler vers son deuxième titre.
AFP.
Il lui permet de prendre sa revanche sur l'Olympiakos qui l'avait battu en 1997 lors d'une des cinq finales perdues par le champion d'Espagne, peu verni en Euroligue jusque-là, toujours présent - c'était son onzième Final Four, un record - mais rarement gagnant à l'arrivée.
L'Olympiakos rêvait de succéder au Panathinaïkos Athènes, son rival honni éliminé avant même les quarts de finale. Mais le Barça, peut-être un chouia moins impressionnant sur le papier, lui a claqué la porte au nez grâce à un collectif et une cohésion supérieurs.
C'est grâce à ces vertus que le Barça a construit son succès en première période où il a fermé à double tour l'accès à sa raquette, livrant un effort énorme en défense pour dresser un rideau de fer devant les Grecs, pris à leur propre jeu.
Contrés, les joueurs de l'Olympiakos ont pris l'eau d'entrée (28-19, 10e, 47-36 à la pause) face aux Catalans emmenés d'abord par Pete Mickeal (14 points) avant que Juan Carlos Navarro (21 points) ne prenne le relais.
Au début du troisième quart-temps, l'Olympiakos a bien tenté de se rebeller, revenant à cinq points (52-47, 26e) au prix d'un énorme effort. Mais un superbe passage, comme en demi-finale, du Sénégalais Boniface Ndong et quelques flèches de Navarro ont permis au Barça de prendre de nouveau le large (64-50, 30e) et de s'envoler vers son deuxième titre.
AFP.