Joseph Gomis
Un an jour pour jour après être devenus champions du monde au Japon, les Espagnols ont célébré l'événement à Séville avec une victoire logique (82-56) sur leur voisin portugais, un des petits poucets du tournoi.
Pour le pays hôte, la mauvaise nouvelle était venue plus tôt dans la journée sous forme du forfait pour le premier tour de Juan Carlos Navarro, victime d'une petite déchirure aux adducteurs. Si, comme promis, l'ailier de Memphis est rétabli pour la deuxième phase, ce contre-temps devrait cependant avoir aucune conséquence.
Car, en attendant le rétablissement de "la bomba", ce n'est pas le groupe B qui devrait poser problème à l'Espagne, d'autant que la Croatie a sombré face à la Lettonie (85-77).
Le deuxième grand favori de cet Euro, la Grèce, a connu un départ plus poussif dans le groupe A face à Israël (76-66). L'écart final ne traduit pas la résistance offerte par les Israéliens qui arrivent sur la lancée de leur qualification décrochée seulement vendredi à l'issue d'un tournoi triangulaire.
Dans cette même poule, la Russie s'est positionnée avec un succès sur la jeune Serbie grâce à 24 points et 12 rebonds de la grande vedette russe Andreï Kirilenko.
Si Kirilenko a été déterminant comme prévu, que dire du "Wunderkind" allemand Dirk Nowitzki? Avec 35 points et 11 rebonds, il a une nouvelle fois porté à lui seul la Mannschaft, la tirant d'un beau guêpier face à la République tchèque (83-78 a.p.), l'équipe la moins cotée du groupe C.
Avec le retour de Sarunas Jasikevicius, la Lituanie compte également un cador dans ses rangs et le meneur de jeu de Golden State l'a confirmé en marquant 18 points leur du succès convainquant des Baltes sur la Turquie (86-69).
Dans le groupe D, la France a beaucoup moins impressionné lors de sa pénible victoire sur la Pologne (74-66) avec un Tony Parker finissant meilleur marqueur français (16 points) mais très maladroit (31% aux tirs).
Mardi, la France rencontrera l'Italie qui n'aura déjà plus le droit à l'erreur après sa défaite face à la Slovénie en fin de soirée (69-68).
Après avoir remonté en cinq minutes un déficit de treize points (47-60), les Italiens pensaient pourtant avoir fait le plus dur lorsqu'ils viraient en tête à quatre secondes de la fin. Mais un panier à trois points miraculeux de Lakovic au buzzer mettait un terme abrupt à leur remontée fantastique.
Pour le pays hôte, la mauvaise nouvelle était venue plus tôt dans la journée sous forme du forfait pour le premier tour de Juan Carlos Navarro, victime d'une petite déchirure aux adducteurs. Si, comme promis, l'ailier de Memphis est rétabli pour la deuxième phase, ce contre-temps devrait cependant avoir aucune conséquence.
Car, en attendant le rétablissement de "la bomba", ce n'est pas le groupe B qui devrait poser problème à l'Espagne, d'autant que la Croatie a sombré face à la Lettonie (85-77).
Le deuxième grand favori de cet Euro, la Grèce, a connu un départ plus poussif dans le groupe A face à Israël (76-66). L'écart final ne traduit pas la résistance offerte par les Israéliens qui arrivent sur la lancée de leur qualification décrochée seulement vendredi à l'issue d'un tournoi triangulaire.
Dans cette même poule, la Russie s'est positionnée avec un succès sur la jeune Serbie grâce à 24 points et 12 rebonds de la grande vedette russe Andreï Kirilenko.
Si Kirilenko a été déterminant comme prévu, que dire du "Wunderkind" allemand Dirk Nowitzki? Avec 35 points et 11 rebonds, il a une nouvelle fois porté à lui seul la Mannschaft, la tirant d'un beau guêpier face à la République tchèque (83-78 a.p.), l'équipe la moins cotée du groupe C.
Avec le retour de Sarunas Jasikevicius, la Lituanie compte également un cador dans ses rangs et le meneur de jeu de Golden State l'a confirmé en marquant 18 points leur du succès convainquant des Baltes sur la Turquie (86-69).
Dans le groupe D, la France a beaucoup moins impressionné lors de sa pénible victoire sur la Pologne (74-66) avec un Tony Parker finissant meilleur marqueur français (16 points) mais très maladroit (31% aux tirs).
Mardi, la France rencontrera l'Italie qui n'aura déjà plus le droit à l'erreur après sa défaite face à la Slovénie en fin de soirée (69-68).
Après avoir remonté en cinq minutes un déficit de treize points (47-60), les Italiens pensaient pourtant avoir fait le plus dur lorsqu'ils viraient en tête à quatre secondes de la fin. Mais un panier à trois points miraculeux de Lakovic au buzzer mettait un terme abrupt à leur remontée fantastique.