En effet, la bête immonde qu’est ce phénomène de la violence est sortie de sa léthargie pour enflammer Marius Ndiaye .A environs 7 minutes de la fin de la partie, alors que les militaires menaient à la marque, une bataille rangée opposant supporters du Duc et ceux de l'Asfa sous les yeux des policiers qui ne pouvaient que matraquer pour dissuader les protagonistes. Certains supporters du Duc ont été malmenés par ceux de l'ASFA qui étaient plus nombreux.
Encore une fois, la fédération et les dirigeants de Club sont interpellés pour trouver des solutions à cette violence qui risque d'agir sur notre basket mourant comme une forme d'euthanasie. La victoire malgache qui a agit comme de la morphine sur les maux du basket est entrain de se dissiper. NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE LA VIOLENCE.
Un vrai combat de rue entre des supporters censés représenter deux grands clubs. Malheureusement, l’image de ces deux derniers a été encore ternie. Ecœurant de la part d’adultes appelés à donner le meilleur exemple. Aux responsables des deux clubs de prendre les sanctions qu’il faut pour bannir à jamais de tels comportements qui n’honorent ni leurs auteurs ni les couleurs qu’ils représentent et encore moins le basket-ball. Rien ne sert d'amener au stade des supporters que l'on ne peut pas maîtriser.
Il faut saluer à sa juste valeur le coach militaire Raoul Toupane qui a calmé les militaires.
En dressant les aspects négatifs du match d'hier, il ne s’agit nullement de vilipender qui que ce soit dans un esprit moralisateur mais plutôt de pointer les dérives, pour mieux les connaître et s’en protéger. Car, paradoxalement, ce sont les violences et les dérives du sport qui sont entrain de tuer notre sport favori. Notre but à tous, Fédéraux, pratiquants, supporters est de tenter de préserver cet espace éducatif et ludique afin que nos enfants puissent s’y épanouir mais aussi de favoriser un moyen de convivialité, de paix et d’échanges entre passionnés. WA SALAM !
Encore une fois, la fédération et les dirigeants de Club sont interpellés pour trouver des solutions à cette violence qui risque d'agir sur notre basket mourant comme une forme d'euthanasie. La victoire malgache qui a agit comme de la morphine sur les maux du basket est entrain de se dissiper. NOUS N'AVONS PAS BESOIN DE LA VIOLENCE.
Un vrai combat de rue entre des supporters censés représenter deux grands clubs. Malheureusement, l’image de ces deux derniers a été encore ternie. Ecœurant de la part d’adultes appelés à donner le meilleur exemple. Aux responsables des deux clubs de prendre les sanctions qu’il faut pour bannir à jamais de tels comportements qui n’honorent ni leurs auteurs ni les couleurs qu’ils représentent et encore moins le basket-ball. Rien ne sert d'amener au stade des supporters que l'on ne peut pas maîtriser.
Il faut saluer à sa juste valeur le coach militaire Raoul Toupane qui a calmé les militaires.
En dressant les aspects négatifs du match d'hier, il ne s’agit nullement de vilipender qui que ce soit dans un esprit moralisateur mais plutôt de pointer les dérives, pour mieux les connaître et s’en protéger. Car, paradoxalement, ce sont les violences et les dérives du sport qui sont entrain de tuer notre sport favori. Notre but à tous, Fédéraux, pratiquants, supporters est de tenter de préserver cet espace éducatif et ludique afin que nos enfants puissent s’y épanouir mais aussi de favoriser un moyen de convivialité, de paix et d’échanges entre passionnés. WA SALAM !