Même s’il nourrit quelques appréhensions par rapport à l’ambiance délétère qui mine présentement le basket sénégalais. «Il n’est plus question de nommer un entraîneur étranger à la tête des Equipes nationales de basket. Car nous avons au Sénégal de très bons techniciens qui sont disponibles, contrairement aux expatriés qui sont des pigistes. Nous avons aussi des coaches sénégalais en Pro A et B en France et ailleurs en Europe, qui peuvent diriger valablement nos Equipes nationales. L’expertise locale est valable et il faut les solliciter et les mettre dans les meilleures conditions.» Ces propos du nouveau ministre des Sports, Abdoulaye Makhtar Diop à nos confrères de la 2STv, viennent tourner la page Alain Weisz. Du coup, la succession du technicien français qui avait conduit les Lions à l’Afrobasket masculin à Madagascar, est ouverte.
Occasion saisie par Le Quotidien pour relancer le technicien sénégalais basé en France, Youssou Cissé. L’actuel coach du club de basket de l’Entente Cergy Osny Pontoise (N2 en France), se dit toujours intéressé par le poste d’entraîneur des Lions. Joint en fin de semaine dernière, il a réaffirmé son amour et son attachement aux couleurs nationales et aux Lions, classés cinquième à l’Afrobasket masculin à Madagascar.
Toujours candidat et ayant transmis un projet au Directeur technique national, Ado Sano, Youssou Cissé espère voir son rêve se réaliser un jour. «J’espère toujours. Je suis toujours intéressé. Je suis toujours candidat», insiste-t-il. «Même si, on ne m’a encore rien proposé. En tout cas, je prie Dieu de pouvoir un jour travailler pour l’Equipe nationale du Sénégal», implore une fois de plus l’ancien international. Qui toutefois regrette les nombreux problèmes qui secouent présentement la famille de la balle orange. Surtout au lendemain de l’Afrobasket féminin au Mali, marqué par des passes d’armes au sujet des primes, entre le président de la Fédé, Baba Tandian, et le coach des Lionnes, Tapha Gaye. Et toujours entre le président de Fédé et les Lionnes. «Ce n’est pas facile de travailler dans certaines conditions. Personne ne souhaite travailler ainsi», note Youssou Cissé, qui tient à insister sur l’environnement de l’équipe, sur les relations entre la tutelle, la Fédération, le staff technique, les joueurs. Gage d’une bonnne condition de performance.
«»On s’est trop focalisés sur l’Angola. Analysant la prestation des Lions qu’il espérait conduire à Madagascar, le technicien sénégalais pense que les gens se sont trop focalisés sur l’Angola. «On s’est trop focalisés sur l’Angola. Mais après l’avoir battu, qu’est-ce qu’il fallait faire ? Le lendemain, une autre équipe plus faible que l’Angola peut te battre. Il ne fallait donc pas se focaliser simplement sur l’Angola. Malheureusement, dans les discours, c’était souvent le cas», se désole-t-il.
Toujours animé par le même désir de coacher les Lions, Youssou Cissé tient cependant à préciser qu’il ne sera pas là éternellement à penser à l’Equipe nationale. «On ne peut pas continuer à rêver. A force d’espérer, si les choses ne bougent pas, il faut se réveiller un jour et se rendre à l’évidence que cela ne peut pas se réaliser et ainsi pouvoir passer à autre chose», lance-t-il.
Occasion saisie par Le Quotidien pour relancer le technicien sénégalais basé en France, Youssou Cissé. L’actuel coach du club de basket de l’Entente Cergy Osny Pontoise (N2 en France), se dit toujours intéressé par le poste d’entraîneur des Lions. Joint en fin de semaine dernière, il a réaffirmé son amour et son attachement aux couleurs nationales et aux Lions, classés cinquième à l’Afrobasket masculin à Madagascar.
Toujours candidat et ayant transmis un projet au Directeur technique national, Ado Sano, Youssou Cissé espère voir son rêve se réaliser un jour. «J’espère toujours. Je suis toujours intéressé. Je suis toujours candidat», insiste-t-il. «Même si, on ne m’a encore rien proposé. En tout cas, je prie Dieu de pouvoir un jour travailler pour l’Equipe nationale du Sénégal», implore une fois de plus l’ancien international. Qui toutefois regrette les nombreux problèmes qui secouent présentement la famille de la balle orange. Surtout au lendemain de l’Afrobasket féminin au Mali, marqué par des passes d’armes au sujet des primes, entre le président de la Fédé, Baba Tandian, et le coach des Lionnes, Tapha Gaye. Et toujours entre le président de Fédé et les Lionnes. «Ce n’est pas facile de travailler dans certaines conditions. Personne ne souhaite travailler ainsi», note Youssou Cissé, qui tient à insister sur l’environnement de l’équipe, sur les relations entre la tutelle, la Fédération, le staff technique, les joueurs. Gage d’une bonnne condition de performance.
«»On s’est trop focalisés sur l’Angola. Analysant la prestation des Lions qu’il espérait conduire à Madagascar, le technicien sénégalais pense que les gens se sont trop focalisés sur l’Angola. «On s’est trop focalisés sur l’Angola. Mais après l’avoir battu, qu’est-ce qu’il fallait faire ? Le lendemain, une autre équipe plus faible que l’Angola peut te battre. Il ne fallait donc pas se focaliser simplement sur l’Angola. Malheureusement, dans les discours, c’était souvent le cas», se désole-t-il.
Toujours animé par le même désir de coacher les Lions, Youssou Cissé tient cependant à préciser qu’il ne sera pas là éternellement à penser à l’Equipe nationale. «On ne peut pas continuer à rêver. A force d’espérer, si les choses ne bougent pas, il faut se réveiller un jour et se rendre à l’évidence que cela ne peut pas se réaliser et ainsi pouvoir passer à autre chose», lance-t-il.