Le basket est à l’agonie. Le basket est malade. Le basket est en crise. D’anciens entraîneurs nationaux. D’anciens directeurs techniques nationaux. Et d’actuels présidents de clubs sont unanimes quant au diagnostic. Et ils l’ont réaffirmé, samedi au cours d’une table ronde organisée par le Collectif du basket sénégalais (Cbs) à l’hôtel Indépendance. La balle orange doit recouvrer son envol. Ses périodes fastes. Stopper la «descente aux enfers» de cette discipline qui ne cesse de régresser au plan continental. Ce sacerdoce, les anciens de la balle orange veulent le ré-inculquer à leurs cadets. Et cela passe nécessairement par une reconstruction de la balle orange. Ceux qui prônent la renaissance du Sénégal dans le gotha orange ne lésinent pas sur le temps et les moyens. Après le tour chez les ligues, le Cbs a pris l’autre palier : les clubs. L’essence de la pratique du basket. Ceux qui font vivre le sport de la main. Les vrais acteurs de l’orange qui ne se plaisent pas de dix ans de gouffre. De disette. Ils disent non. Ils veulent changer de démarche et de gestion. Revoir le système qui a fini de mettre le basket à genou. En dix ans, les Garçons peinent à retrouver le sommet et les filles calent sur le podium, la deuxième place.
Ainsi, la réunion sectaire qui réunissait membres du Cbs et présidents de clubs a accouché d’un mémorandum. Divers points affairant à la maladie du basket-ball sénégalais ont été soulevés. N’empêche, les dirigeants de club n’ont pas manqué de tancer le Cbs : «Nous regrettons que le Collectif ait commencé les rencontres par le sommet. C’est nous qui vivons le basket tous les jours», rappelle le vice-président de la Jeanne d’Arc de Dakar. Et les représentants de club de peindre un tableau bien noir. L’agonie. Et le plus urgent à réparer, c’est la formation. Le nerf de la renaissance. «On n’a pas de bons joueurs», décrète le président de l’Asfo, Madioky Diop. Et de poursuivre son réquisitoire : «Tant qu’on n’a pas de bon joueurs, on n’aura pas des résultats. La formation n’existe plus, il n’y a plus de spectacle. Et on a tué la petite catégorie», s’émeut le fonctionnaire en chef.
La première maladie évacuée, les clubs qui sont complices de la fraude d’âge et de la tricherie font leur auto-évaluation. «On triche trop dans le basket», témoigne Maurice Bèye, le président du Sibac. L’âge des joueurs est passé par là. Les seniors sont devenus juniors, les juniors sont des minimes, du coup, les jeunes ne jouent plus. En outre, l’organisation fait défaut, renchérit-il. Donc pour sortir de la descente aux enfers, il faut une réorganisation de l’administration. «Le championnat n’est pas régulier et son organisation ne correspond pas à la visée des clubs. Le club ne vit que de cotisations, alors que le championnat est un gouffre financier», plaide Joseph Angrand, le vice-président de la section de basket de la Jeanne d’Arc… Quand le Jarafman en chef, Saliou Mbengue (président de la section) qui récuse l’injustice promet : «Si vous êtes pour le basket, nous vous accompagnons !» En attendant de relever le défi de Tandian qui s’interroge si la Fédé actuelle est «capable de redresser le basket-ball sénégalais», le Cbs continue son audit.
Pour rappel, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’analyse situationnelle générale fait par les anciens basketteurs pour l’élaboration d’un plan de développement pour le basket-ball sénégalais. C’est quoi la prochaine ?
La balle orange doit recouvrer son envol. Ses périodes fastes. Stopper la «descente aux enfers» de cette discipline qui ne cesse de régresser au plan continental. Ce sacerdoce, les anciens de la balle orange veulent le ré-inculquer à leurs cadets. Et cela passe nécessairement par une reconstruction de la balle orange. Ceux qui prônent la renaissance du Sénégal dans le gotha orange ne lésinent pas sur le temps et les moyens. Après le tour chez les ligues, le Cbs a pris l’autre palier : les clubs. L’essence de la pratique du basket. Ceux qui font vivre le sport de la main. Les vrais acteurs de l’orange qui ne se plaisent pas de dix ans de gouffre. De disette. Ils disent non. Ils veulent changer de démarche et de gestion. Revoir le système qui a fini de mettre le basket à genou. En dix ans, les Garçons peinent à retrouver le sommet et les filles calent sur le podium, la deuxième place.
Ainsi, la réunion sectaire qui réunissait membres du Cbs et présidents de clubs a accouché d’un mémorandum. Divers points affairant à la maladie du basket-ball sénégalais ont été soulevés. N’empêche, les dirigeants de club n’ont pas manqué de tancer le Cbs : «Nous regrettons que le Collectif ait commencé les rencontres par le sommet. C’est nous qui vivons le basket tous les jours», rappelle le vice-président de la Jeanne d’Arc de Dakar. Et les représentants de club de peindre un tableau bien noir. L’agonie. Et le plus urgent à réparer, c’est la formation. Le nerf de la renaissance. «On n’a pas de bons joueurs», décrète le président de l’Asfo, Madioky Diop. Et de poursuivre son réquisitoire : «Tant qu’on n’a pas de bon joueurs, on n’aura pas des résultats. La formation n’existe plus, il n’y a plus de spectacle. Et on a tué la petite catégorie», s’émeut le fonctionnaire en chef.
La première maladie évacuée, les clubs qui sont complices de la fraude d’âge et de la tricherie font leur auto-évaluation. «On triche trop dans le basket», témoigne Maurice Bèye, le président du Sibac. L’âge des joueurs est passé par là. Les seniors sont devenus juniors, les juniors sont des minimes, du coup, les jeunes ne jouent plus. En outre, l’organisation fait défaut, renchérit-il. Donc pour sortir de la descente aux enfers, il faut une réorganisation de l’administration. «Le championnat n’est pas régulier et son organisation ne correspond pas à la visée des clubs. Le club ne vit que de cotisations, alors que le championnat est un gouffre financier», plaide Joseph Angrand, le vice-président de la section de basket de la Jeanne d’Arc… Quand le Jarafman en chef, Saliou Mbengue (président de la section) qui récuse l’injustice promet : «Si vous êtes pour le basket, nous vous accompagnons !» En attendant de relever le défi de Tandian qui s’interroge si la Fédé actuelle est «capable de redresser le basket-ball sénégalais», le Cbs continue son audit.
Pour rappel, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’analyse situationnelle générale fait par les anciens basketteurs pour l’élaboration d’un plan de développement pour le basket-ball sénégalais. C’est quoi la prochaine ?
Ainsi, la réunion sectaire qui réunissait membres du Cbs et présidents de clubs a accouché d’un mémorandum. Divers points affairant à la maladie du basket-ball sénégalais ont été soulevés. N’empêche, les dirigeants de club n’ont pas manqué de tancer le Cbs : «Nous regrettons que le Collectif ait commencé les rencontres par le sommet. C’est nous qui vivons le basket tous les jours», rappelle le vice-président de la Jeanne d’Arc de Dakar. Et les représentants de club de peindre un tableau bien noir. L’agonie. Et le plus urgent à réparer, c’est la formation. Le nerf de la renaissance. «On n’a pas de bons joueurs», décrète le président de l’Asfo, Madioky Diop. Et de poursuivre son réquisitoire : «Tant qu’on n’a pas de bon joueurs, on n’aura pas des résultats. La formation n’existe plus, il n’y a plus de spectacle. Et on a tué la petite catégorie», s’émeut le fonctionnaire en chef.
La première maladie évacuée, les clubs qui sont complices de la fraude d’âge et de la tricherie font leur auto-évaluation. «On triche trop dans le basket», témoigne Maurice Bèye, le président du Sibac. L’âge des joueurs est passé par là. Les seniors sont devenus juniors, les juniors sont des minimes, du coup, les jeunes ne jouent plus. En outre, l’organisation fait défaut, renchérit-il. Donc pour sortir de la descente aux enfers, il faut une réorganisation de l’administration. «Le championnat n’est pas régulier et son organisation ne correspond pas à la visée des clubs. Le club ne vit que de cotisations, alors que le championnat est un gouffre financier», plaide Joseph Angrand, le vice-président de la section de basket de la Jeanne d’Arc… Quand le Jarafman en chef, Saliou Mbengue (président de la section) qui récuse l’injustice promet : «Si vous êtes pour le basket, nous vous accompagnons !» En attendant de relever le défi de Tandian qui s’interroge si la Fédé actuelle est «capable de redresser le basket-ball sénégalais», le Cbs continue son audit.
Pour rappel, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’analyse situationnelle générale fait par les anciens basketteurs pour l’élaboration d’un plan de développement pour le basket-ball sénégalais. C’est quoi la prochaine ?
La balle orange doit recouvrer son envol. Ses périodes fastes. Stopper la «descente aux enfers» de cette discipline qui ne cesse de régresser au plan continental. Ce sacerdoce, les anciens de la balle orange veulent le ré-inculquer à leurs cadets. Et cela passe nécessairement par une reconstruction de la balle orange. Ceux qui prônent la renaissance du Sénégal dans le gotha orange ne lésinent pas sur le temps et les moyens. Après le tour chez les ligues, le Cbs a pris l’autre palier : les clubs. L’essence de la pratique du basket. Ceux qui font vivre le sport de la main. Les vrais acteurs de l’orange qui ne se plaisent pas de dix ans de gouffre. De disette. Ils disent non. Ils veulent changer de démarche et de gestion. Revoir le système qui a fini de mettre le basket à genou. En dix ans, les Garçons peinent à retrouver le sommet et les filles calent sur le podium, la deuxième place.
Ainsi, la réunion sectaire qui réunissait membres du Cbs et présidents de clubs a accouché d’un mémorandum. Divers points affairant à la maladie du basket-ball sénégalais ont été soulevés. N’empêche, les dirigeants de club n’ont pas manqué de tancer le Cbs : «Nous regrettons que le Collectif ait commencé les rencontres par le sommet. C’est nous qui vivons le basket tous les jours», rappelle le vice-président de la Jeanne d’Arc de Dakar. Et les représentants de club de peindre un tableau bien noir. L’agonie. Et le plus urgent à réparer, c’est la formation. Le nerf de la renaissance. «On n’a pas de bons joueurs», décrète le président de l’Asfo, Madioky Diop. Et de poursuivre son réquisitoire : «Tant qu’on n’a pas de bon joueurs, on n’aura pas des résultats. La formation n’existe plus, il n’y a plus de spectacle. Et on a tué la petite catégorie», s’émeut le fonctionnaire en chef.
La première maladie évacuée, les clubs qui sont complices de la fraude d’âge et de la tricherie font leur auto-évaluation. «On triche trop dans le basket», témoigne Maurice Bèye, le président du Sibac. L’âge des joueurs est passé par là. Les seniors sont devenus juniors, les juniors sont des minimes, du coup, les jeunes ne jouent plus. En outre, l’organisation fait défaut, renchérit-il. Donc pour sortir de la descente aux enfers, il faut une réorganisation de l’administration. «Le championnat n’est pas régulier et son organisation ne correspond pas à la visée des clubs. Le club ne vit que de cotisations, alors que le championnat est un gouffre financier», plaide Joseph Angrand, le vice-président de la section de basket de la Jeanne d’Arc… Quand le Jarafman en chef, Saliou Mbengue (président de la section) qui récuse l’injustice promet : «Si vous êtes pour le basket, nous vous accompagnons !» En attendant de relever le défi de Tandian qui s’interroge si la Fédé actuelle est «capable de redresser le basket-ball sénégalais», le Cbs continue son audit.
Pour rappel, cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’analyse situationnelle générale fait par les anciens basketteurs pour l’élaboration d’un plan de développement pour le basket-ball sénégalais. C’est quoi la prochaine ?