Les quadruples championnes olympiques américaines, emmenées par sa star Diana Taurasi, ont surclassé (83-75) sans difficulté les championnes du monde australiennes, mercredi dans la première confrontation entre les deux favorites pour le titre.
Avant d'éventuelles retrouvailles en finale, cette rencontre du deuxième tour servait à départager deux des quatre équipes invaincues depuis le début de la compétition et à déterminer leurs premiers adversaires de la phase finale.
En quarts de finale vendredi, les Américaines affronteront les Sud-Coréennes et les Australiennes défieront les Tchèques sur leurs terres.
Mais pour les Américaines la voie semble tracée jusqu'à la finale tant elles ont dominé leurs adversaires et impressionné le public depuis une semaine. En cinq matches, elles avaient creusé un écart moyen de 38 points avec leurs adversaires.
Seule équipe à sembler pouvoir les contenir, l'Australie a terminé avec un écart en trompe-l'oeil de huit points, réduit par les Opales dans un dernier quart-temps face à un adversaire plus relâché qui s'est permis de perdre 20 ballons en cours de match.
La superstar Lauren Jackson (13 pts, 6 rbds), la géante Elizabeth Cambage (18 pts, 7 rbds) et l'efficace Penny Taylor (8 pts, 5 rbds) n'ont pas semblé en mesure de contrecarrer la force de frappe offensive américaine, sa vitesse et la richesse de son effectif.
C'est d'abord la pivot Sylvia Fowles (15 pts, 6 rbds) qui a permis aux Américaines de prendre le large, puis Diana Taurasi (24 pts) de creuser un écart rédhibitoire de 18 points à la mi-temps. Dire que l'étoile montante Angel McCoughtry, qui a compté quatre fautes au troisième quart-temps, n'a joué que 9 minutes...
Les championnes en titre recevaient même le soutien habituellement dévolu au Petit Poucet d'une compétition, applaudi avec encouragement par les 6000 spectateurs de la Cez Arena à chacune de ses possessions en fin de match !
Dans le costume de l'ogre, les Américaines ont, elles, géré leur avance, sans consommer trop d'énergie pour la suite de la compétition. Car elle devrait se terminer dimanche.
Avant d'éventuelles retrouvailles en finale, cette rencontre du deuxième tour servait à départager deux des quatre équipes invaincues depuis le début de la compétition et à déterminer leurs premiers adversaires de la phase finale.
En quarts de finale vendredi, les Américaines affronteront les Sud-Coréennes et les Australiennes défieront les Tchèques sur leurs terres.
Mais pour les Américaines la voie semble tracée jusqu'à la finale tant elles ont dominé leurs adversaires et impressionné le public depuis une semaine. En cinq matches, elles avaient creusé un écart moyen de 38 points avec leurs adversaires.
Seule équipe à sembler pouvoir les contenir, l'Australie a terminé avec un écart en trompe-l'oeil de huit points, réduit par les Opales dans un dernier quart-temps face à un adversaire plus relâché qui s'est permis de perdre 20 ballons en cours de match.
La superstar Lauren Jackson (13 pts, 6 rbds), la géante Elizabeth Cambage (18 pts, 7 rbds) et l'efficace Penny Taylor (8 pts, 5 rbds) n'ont pas semblé en mesure de contrecarrer la force de frappe offensive américaine, sa vitesse et la richesse de son effectif.
C'est d'abord la pivot Sylvia Fowles (15 pts, 6 rbds) qui a permis aux Américaines de prendre le large, puis Diana Taurasi (24 pts) de creuser un écart rédhibitoire de 18 points à la mi-temps. Dire que l'étoile montante Angel McCoughtry, qui a compté quatre fautes au troisième quart-temps, n'a joué que 9 minutes...
Les championnes en titre recevaient même le soutien habituellement dévolu au Petit Poucet d'une compétition, applaudi avec encouragement par les 6000 spectateurs de la Cez Arena à chacune de ses possessions en fin de match !
Dans le costume de l'ogre, les Américaines ont, elles, géré leur avance, sans consommer trop d'énergie pour la suite de la compétition. Car elle devrait se terminer dimanche.
Source: AFP