Ousseynou Ndiaga DIOP
LA JOIE DU SACRE
«Il faut remercier l’encadrement de la JA malgré les conditions difficiles dans lesquelles nous avons vécu cette saison. Les dirigeants de la section de basket se sont battus pour arriver à ce stade. Il y a eu la mobilisation permanente de la direction technique et des joueuses qui ont accepté de faire des sacrifices. Ce championnat était notre objectif et plusieurs fois, l’entraîneur (Cheikh Fall) a eu à le répéter. D’ailleurs, l’année dernière, les prémices avaient été lancées. Nous avons joué toutes les finales face au Duc. Mais, le Duc avait opté à rester au sommet de la hiérarchie du basket en mettant les moyens et en s’attachant les services des meilleures joueuses et cela a payé. Cette année en tombant sur le club étudiant en demi-finale, personne n’aurait cru qu’on allait atteindre cette année la finale et gagner le trophée. Quand nous avons battu le Duc par deux fois en demi-finale, nous nous sommes dits que tout est possible. Et nous avons travaillé dans ce sens. Je crois que c’est la récompense de plusieurs années d’efforts, de modification de politique. D’abord, nous avons opté pour un recrutement de joueuses de haut niveau. Ensuite, nous sommes revenus à la formation à la base en privilégiant l’insertion des jeunes, aujourd’hui cela a payé. C’est la grande satisfaction de cette finale.»
LE SECRET D’UN TITRE
«Nous avons réussi à faire l’amalgame entre les anciennes et les jeunes. 80% de jeunes épaulée par deux anciennes Khady Diop et Soukey Sarr. Aujourd’hui, comme pour confirmer tout cela, vous avez vu la dernière prestation de Khady Diop et le dernier panier (à trois points) de Soukey Sarr. Elles ont montré qu’elles ont su être aux côtés des jeunes, leur apporter leur expérience et les galvaniser pour aller chercher ce titre.»
FORCE DE LA JEANNE D’ARC
«La force de la Jeanne d’Arc, c’est cette mobilisation constante derrière l’équipe. Jamais l’équipe n’a été esseulée, même au creux de la vague. Nous avons connu des départs et des blessures en milieu de saison et nous n’avons pas su garder l’équilibre en ces moments peu évidents. Heureusement qu’en fin de saison, on a pu récupérer tout notre groupe. Cette mobilisation nous a permis aujourd’hui d’être championne.»
«Il faut remercier l’encadrement de la JA malgré les conditions difficiles dans lesquelles nous avons vécu cette saison. Les dirigeants de la section de basket se sont battus pour arriver à ce stade. Il y a eu la mobilisation permanente de la direction technique et des joueuses qui ont accepté de faire des sacrifices. Ce championnat était notre objectif et plusieurs fois, l’entraîneur (Cheikh Fall) a eu à le répéter. D’ailleurs, l’année dernière, les prémices avaient été lancées. Nous avons joué toutes les finales face au Duc. Mais, le Duc avait opté à rester au sommet de la hiérarchie du basket en mettant les moyens et en s’attachant les services des meilleures joueuses et cela a payé. Cette année en tombant sur le club étudiant en demi-finale, personne n’aurait cru qu’on allait atteindre cette année la finale et gagner le trophée. Quand nous avons battu le Duc par deux fois en demi-finale, nous nous sommes dits que tout est possible. Et nous avons travaillé dans ce sens. Je crois que c’est la récompense de plusieurs années d’efforts, de modification de politique. D’abord, nous avons opté pour un recrutement de joueuses de haut niveau. Ensuite, nous sommes revenus à la formation à la base en privilégiant l’insertion des jeunes, aujourd’hui cela a payé. C’est la grande satisfaction de cette finale.»
LE SECRET D’UN TITRE
«Nous avons réussi à faire l’amalgame entre les anciennes et les jeunes. 80% de jeunes épaulée par deux anciennes Khady Diop et Soukey Sarr. Aujourd’hui, comme pour confirmer tout cela, vous avez vu la dernière prestation de Khady Diop et le dernier panier (à trois points) de Soukey Sarr. Elles ont montré qu’elles ont su être aux côtés des jeunes, leur apporter leur expérience et les galvaniser pour aller chercher ce titre.»
FORCE DE LA JEANNE D’ARC
«La force de la Jeanne d’Arc, c’est cette mobilisation constante derrière l’équipe. Jamais l’équipe n’a été esseulée, même au creux de la vague. Nous avons connu des départs et des blessures en milieu de saison et nous n’avons pas su garder l’équilibre en ces moments peu évidents. Heureusement qu’en fin de saison, on a pu récupérer tout notre groupe. Cette mobilisation nous a permis aujourd’hui d’être championne.»