Pape SOW
Le vent violent qui avait emporté Mamadou Ndiaye (ex-La Lakers) et Boniface Ndong (ex-La Clippers) a frappé Pape Sow. Comme pour ses compatriotes, l'ex Goréen voit les portes de la Nba se refermer sous son nez.
Laisse libre par les Toronto Raptors, l'international sénégalais n'a pu rebondir dans une autre franchise. Sa participation quelconque à l'Afrobasket angolais, à l'image de l'équipe sénégalaise (9e) n'a pas séduit les «scouts» américains qui étaient à l'affut.
Du coup, l’Europe se présentait comme une alternative pour le pivot des «Lions». Il traversera l'Atlantique pour l'Italie en toute vitesse. Cette saison, Pape Sow évolue dans la Lega basket Serie A, sous les couleurs de Solsonica Rieti (ou Nuova Sebastiani Basket) de la région de Lazio.
Arrivé à la mi-septembre, le pivot sénégalais (2,09 m, 26 ans) a très vite réussi son intégration dans son nouveau club, qui est actuellement classe 10e après 5 journées, avec trois victoires et deux défaites. L’entraineur adjoint de Solsonica, Alexandre Guiliani, sur le site du club, témoigne : «Malgré la fatigue du voyage, des son premier jour, il s'est énormément donné pendant les deux immenses séances d'entralnement. Beaucoup de joueurs ne réussissent pas à le faire. En plus, il s'est vite intégré dans notre système de jeu. C'est un joueur athlétique, solidaire et qui parle beaucoup en défense». Voila de quoi fouetter l'optimisme de la nouvelle recrue. Toujours sur le site du club : «Je connais assez le basket européen pour avoir joué avec des joueurs qui sont passés par la. Toutefois, il va falloir beaucoup travailler pour s'en sortir. Et je suis prêt pour ca».
Pour aller en Italie, Pape Sow a repoussé des offres venues d'Espagne et de Russie, notamment. «La décision de venir à Rieti a été facile à prendre. Avec mon agent, nous avons décidé en très peu de temps. J'avais un besoin énorme de jouer au basketball pour pouvoir revenir au top. Et c'était la bonne occasion pour moi», explique-t-il.
Reste maintenant à se familiariser avec le jeu et l'arbitrage européen, qui sont différents de ce qui se pratique en Nba. Mais pour ce qui est de son adaptation à la vie italienne, Pape Sow semble dans son univers. «Je suis impressionné par l'impact que suscite ma présence à Rieti, indique-t-il, enthousiaste. En si peu de temps, j'ai senti l'attachement des gens qui s' arrêtaient mêmé pour me saluer en pleine ville. El cela m'a beaucoup frappé, car je ne m’y attendais pas».
La vie de basketteur du «Lion» prend ainsi un nouveau tournant, après un passage timide aux Etats Unis. Drafté en 2004 par les Toronto Raptors, l'ancien pivot de Gorée à use ses «pumps», trois saisons durant, sur les parquets de la Nba. Mais il n'aura joué dans l'ensemble que 75 matches. Moins que le nombre total de matches (82) d'une saison Nba. De retour d'une longue absence à cause d'une grave blessure au cou à la fin de la saison 2005-2006, il aura connu le pire. La saison, 2006-2007, il n'est apparu que six fois pour une moyenne de deux minutes par rencontre. L'Italie va certainement changer la donne.
Laisse libre par les Toronto Raptors, l'international sénégalais n'a pu rebondir dans une autre franchise. Sa participation quelconque à l'Afrobasket angolais, à l'image de l'équipe sénégalaise (9e) n'a pas séduit les «scouts» américains qui étaient à l'affut.
Du coup, l’Europe se présentait comme une alternative pour le pivot des «Lions». Il traversera l'Atlantique pour l'Italie en toute vitesse. Cette saison, Pape Sow évolue dans la Lega basket Serie A, sous les couleurs de Solsonica Rieti (ou Nuova Sebastiani Basket) de la région de Lazio.
Arrivé à la mi-septembre, le pivot sénégalais (2,09 m, 26 ans) a très vite réussi son intégration dans son nouveau club, qui est actuellement classe 10e après 5 journées, avec trois victoires et deux défaites. L’entraineur adjoint de Solsonica, Alexandre Guiliani, sur le site du club, témoigne : «Malgré la fatigue du voyage, des son premier jour, il s'est énormément donné pendant les deux immenses séances d'entralnement. Beaucoup de joueurs ne réussissent pas à le faire. En plus, il s'est vite intégré dans notre système de jeu. C'est un joueur athlétique, solidaire et qui parle beaucoup en défense». Voila de quoi fouetter l'optimisme de la nouvelle recrue. Toujours sur le site du club : «Je connais assez le basket européen pour avoir joué avec des joueurs qui sont passés par la. Toutefois, il va falloir beaucoup travailler pour s'en sortir. Et je suis prêt pour ca».
Pour aller en Italie, Pape Sow a repoussé des offres venues d'Espagne et de Russie, notamment. «La décision de venir à Rieti a été facile à prendre. Avec mon agent, nous avons décidé en très peu de temps. J'avais un besoin énorme de jouer au basketball pour pouvoir revenir au top. Et c'était la bonne occasion pour moi», explique-t-il.
Reste maintenant à se familiariser avec le jeu et l'arbitrage européen, qui sont différents de ce qui se pratique en Nba. Mais pour ce qui est de son adaptation à la vie italienne, Pape Sow semble dans son univers. «Je suis impressionné par l'impact que suscite ma présence à Rieti, indique-t-il, enthousiaste. En si peu de temps, j'ai senti l'attachement des gens qui s' arrêtaient mêmé pour me saluer en pleine ville. El cela m'a beaucoup frappé, car je ne m’y attendais pas».
La vie de basketteur du «Lion» prend ainsi un nouveau tournant, après un passage timide aux Etats Unis. Drafté en 2004 par les Toronto Raptors, l'ancien pivot de Gorée à use ses «pumps», trois saisons durant, sur les parquets de la Nba. Mais il n'aura joué dans l'ensemble que 75 matches. Moins que le nombre total de matches (82) d'une saison Nba. De retour d'une longue absence à cause d'une grave blessure au cou à la fin de la saison 2005-2006, il aura connu le pire. La saison, 2006-2007, il n'est apparu que six fois pour une moyenne de deux minutes par rencontre. L'Italie va certainement changer la donne.