Venu exprès des Etats-Unis, Rolando Blackman a pu échanger et partager des techniques de jeu avec de jeunes basketteurs, au terrain de l'As Municipalité du Point E.
Par sa présence au Sénégal, le basketteur américain dit vouloir ‘'faire passer le message de'' l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans la lutte contre l'usage des drogues, soulignant que les jeunes, surtout ceux qui pratiquent un sport, doivent en être prémunis contre ce danger.
‘'Il faut montrer aux jeunes que le sport est très important et que la communauté est également quelque chose de très importante pour réussir dans la vie. Aussi, la drogue empêche d'atteindre ces objectifs'', a-t-il fait valoir à l'endroit des jeunes, constitués en majorité de pensionnaires du centre de formation tenu par l'ancienne internationale Fatou Kiné Ndiaye. Cette dernière est par ailleurs ambassadrice de bonne volonté de l'ONUDC.
Pour l'ancienne star Nba, qui dit avoir décelé beaucoup de talent chez les jeunes pratiquants sénégalais, ‘'en faisant du sport, les jeunes peuvent rester loin de la drogue et sur le bon chemin''. Et pour développer leur talent, a-t-il encore dit, ‘'les jeunes ont besoin d'une plus grande assistance des entraîneurs''.
Mais, souligne l'un des meilleurs pointeurs de l'histoire de la NBA, ‘'il faut surtout qu'ils (les jeunes) s'éloignent de la drogue qui peut ruiner leurs chances et leur talent de jeunes joueurs''.
Il a par ailleurs conseillé aux jeunes de continuer à travailler les techniques et fondamentaux qui leur sont enseignés''. ‘'L'adresse, a-t-il indiqué, s'acquière avec la pratique, l'entraînement et le travail'' et ‘'malgré le talent, un joueur qui use de la drogue ruine ses chances de réussite''.
Ce camp de basket, organisé par l'ONUDC s'explique par le souci de mieux faire passer le message en direction des jeunes, en faisant appel au leadership de la Nba pour assurer l'aspect préventif de la lutte contre, selon Amado Sandres.
Des stars comme Rolando Blackman sont indiqués, pour dire à ces jeunes basketteurs : ‘'vous pouvez faire mieux, si vous ne touchez pas à la drogue'', a souligné Amado Sandres.
Par sa présence au Sénégal, le basketteur américain dit vouloir ‘'faire passer le message de'' l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) dans la lutte contre l'usage des drogues, soulignant que les jeunes, surtout ceux qui pratiquent un sport, doivent en être prémunis contre ce danger.
‘'Il faut montrer aux jeunes que le sport est très important et que la communauté est également quelque chose de très importante pour réussir dans la vie. Aussi, la drogue empêche d'atteindre ces objectifs'', a-t-il fait valoir à l'endroit des jeunes, constitués en majorité de pensionnaires du centre de formation tenu par l'ancienne internationale Fatou Kiné Ndiaye. Cette dernière est par ailleurs ambassadrice de bonne volonté de l'ONUDC.
Pour l'ancienne star Nba, qui dit avoir décelé beaucoup de talent chez les jeunes pratiquants sénégalais, ‘'en faisant du sport, les jeunes peuvent rester loin de la drogue et sur le bon chemin''. Et pour développer leur talent, a-t-il encore dit, ‘'les jeunes ont besoin d'une plus grande assistance des entraîneurs''.
Mais, souligne l'un des meilleurs pointeurs de l'histoire de la NBA, ‘'il faut surtout qu'ils (les jeunes) s'éloignent de la drogue qui peut ruiner leurs chances et leur talent de jeunes joueurs''.
Il a par ailleurs conseillé aux jeunes de continuer à travailler les techniques et fondamentaux qui leur sont enseignés''. ‘'L'adresse, a-t-il indiqué, s'acquière avec la pratique, l'entraînement et le travail'' et ‘'malgré le talent, un joueur qui use de la drogue ruine ses chances de réussite''.
Ce camp de basket, organisé par l'ONUDC s'explique par le souci de mieux faire passer le message en direction des jeunes, en faisant appel au leadership de la Nba pour assurer l'aspect préventif de la lutte contre, selon Amado Sandres.
Des stars comme Rolando Blackman sont indiqués, pour dire à ces jeunes basketteurs : ‘'vous pouvez faire mieux, si vous ne touchez pas à la drogue'', a souligné Amado Sandres.