’’Il était la première personne ressource du basket et tant qu’il était là, on ne pouvait faire du mauvais basket’’, a déclaré Pape Banda Ndiaye, président du Saint-Louis Basket Club (SLBC).
‘’On ne faisait rien sur le plan technique sans avoir son avis, il était devenu incontournable et les bons résultats du club portent sa signature’’, a-t-il ajouté.
M. Ndiaye a insisté sur le désir permanent de former qui a caractérisé Mbaye Guèye, lequel est à l’origine de l’éclosion de talents comme Mborika Fall, Te Gaye, Ndèye Sène, entre autres.
Sa dernière trouvaille en tant que formateur frappe aux portes de l’équipe nationale et est convoitée par tous les clubs, dit-il parlant de Maïmouna Diarra, une jeune qui est restée dans la discipline grâce à l’insistance de Mbaye Guèye persuadé de ses capacités à percer.
Ses anciens coéquipiers et adversaires, Chimère Diaw et Aly Fall, abondent dans le même sens et résument leur pensée en qualifiant le défunt technicien d’’’homme bien’’.
Mbaye Guèye qui a été pendant longtemps adjoint de Bonaventure Carvalho, a dirigé aussi les Lionnes en tant qu’entraîneur principal pendant dix ans.
Guèye a obtenu son diplôme d’entraîneur en 1971 à Paris, avec Busnel Diagne et Ahmadou Diaw de l’ASFA. Il a ensuite été affecté à Thiès comme conseiller technique régional.
Il a gagné quatre titres africains : deux comme adjoint et deux comme titulaires, en plus d’un titre de vice-champion. Au plan national, il a dirigé l’Avenir de Saint-Louis, le Réveil, la Linguère, le Jaraaf et l’Association sportive des fonctionnaires (ASFO). Avec ce dernier club, il a glané les plus grands titres au niveau national.
Babacar Guèye a décroché son diplôme d’animateur initial en 1957 dans l’armée française, marquant ainsi le début d’une riche carrière qui l’a mené à Martigues en France.
A son retour à Saint-Louis, il s’est surtout illustré dans la formation des petites catégories.
Mbaye Guèye qui habitait à la rue Potin au quartier Nord, laisse derrière lui une fille.
‘’On ne faisait rien sur le plan technique sans avoir son avis, il était devenu incontournable et les bons résultats du club portent sa signature’’, a-t-il ajouté.
M. Ndiaye a insisté sur le désir permanent de former qui a caractérisé Mbaye Guèye, lequel est à l’origine de l’éclosion de talents comme Mborika Fall, Te Gaye, Ndèye Sène, entre autres.
Sa dernière trouvaille en tant que formateur frappe aux portes de l’équipe nationale et est convoitée par tous les clubs, dit-il parlant de Maïmouna Diarra, une jeune qui est restée dans la discipline grâce à l’insistance de Mbaye Guèye persuadé de ses capacités à percer.
Ses anciens coéquipiers et adversaires, Chimère Diaw et Aly Fall, abondent dans le même sens et résument leur pensée en qualifiant le défunt technicien d’’’homme bien’’.
Mbaye Guèye qui a été pendant longtemps adjoint de Bonaventure Carvalho, a dirigé aussi les Lionnes en tant qu’entraîneur principal pendant dix ans.
Guèye a obtenu son diplôme d’entraîneur en 1971 à Paris, avec Busnel Diagne et Ahmadou Diaw de l’ASFA. Il a ensuite été affecté à Thiès comme conseiller technique régional.
Il a gagné quatre titres africains : deux comme adjoint et deux comme titulaires, en plus d’un titre de vice-champion. Au plan national, il a dirigé l’Avenir de Saint-Louis, le Réveil, la Linguère, le Jaraaf et l’Association sportive des fonctionnaires (ASFO). Avec ce dernier club, il a glané les plus grands titres au niveau national.
Babacar Guèye a décroché son diplôme d’animateur initial en 1957 dans l’armée française, marquant ainsi le début d’une riche carrière qui l’a mené à Martigues en France.
A son retour à Saint-Louis, il s’est surtout illustré dans la formation des petites catégories.
Mbaye Guèye qui habitait à la rue Potin au quartier Nord, laisse derrière lui une fille.