Aziz Mbodji Président du Comité d'Organisation
Les rideaux sont tombés sur la première édition du tournoi international, organisé par le Duc, avec au bout le sacre du Slbc. Si l’esprit sportif et la communion ont prévalu, le public a terriblement fait défaut. Désertion ou manque de communication ? Le Comité d’organisateur ne manquera sûrement pas d’apporter la bonne réponse. En attendant, retour sur le tournoi international, avec le terrain de l’Ucad qui a drainé de l’étudiant lors de l’ouverture. Le pavillon A du campus social a servi de podium pour rendre hommage au Duc féminin qui, pendant dix ans, a survolé et dominé le basket africain. Les balcons, qui jouxtent le terrain, ont même vomi de l’étudiant. Tant ils ont été présents en donnant de la voix lors de la journée d’ouverture. Jaraaf, Duc, Ville de Dakar et Saint-Louis basket club, poussés par un public de chahuteurs ont retrouvé leurs jambes, après des jours d’arrêt du Championnat.
Poussées par un sixième homme à l’humeur sarcastique, elles se sont généreusement dépensées sur le terrain crevassé du Pavillon A. Une ambiance festive bien furtive. Car à l’animation inaugurale prendra le relais de soirées moroses passées à Marius Ndiaye, où l’organisateur, le Duc, a vécu un échec cuisant sur le plan de la mobilisation. Avec comme décor des chaises vides. Quelques essaims de supporters éparpillés dans Marius Ndiaye. Point d’ambiance. Même si les supporters Nigérians tentent de détendre l’ambiance silencieuse et dépeuplée du stadium. Sans garnir la salle. Les Etudiants et leur armée jaune sont aussi invisibles. Le doigt est pointé sur la miniaturisation du Comité d’organisation où un groupuscule de cinq personnes pilote le tournoi. Les supporters sont absents, mais le jeu a par moment comblé le vide de spectacle et l’ambiance électrique connu des Etudiants. Des hommes en jaune qui ont déserté Marius Ndiaye. Les explications fusent de partout pour expliquer ce fiasco. «Ils sont en période d’examen», se persuade un organisateur. Un argument bien léger vu le calendrier réajusté des examens en cours à l’Ucad.
Sur le parquet, pour avoir été battu en finale par le Saint-louis basket club (49-59-), le Duc perd son challenge. Les Duchesses ratent leur retour sur la scène africaine. Leur coach se rabat sur le mérite organisationnel. Dame Diouf : «C’est un mérite d’organiser. De plus au plan relationnel, il y a une bonne communion entre les clubs sénégalais et étrangers», se félicite-t-il. Et sans se démonter de sa défaite en finale, le coach « jaune-noir » positive : «Organiser un tournoi nous permet d’avoir des matches de bon niveau et de tirer les leçons de ces rencontres. L’objectif n’est pas toujours de gagner. On voudrait bien gagner, mais si on ne gagne pas cela ne veut pas dire que c’est négatif.» Dame revient sur les erreurs de son équipe. «Nous avons péché dans notre organisation. L’équipe est dans une mini-reconstitution. On avait une joueuse essentielle (Aminata Diop) qu’on a perdue. Maintenant on essaie de compenser son départ, de trouver d’autres organisations et de reconstituer une autre équipe en repositionnant d’autres joueuses à d’autres postes. Le tournoi est venu à son moment.»
La voix étreinte par l’émotion et la défaite, Dame Diouf mûrit son plan contre le Slbc, leader de la poule B du National 1, et qui vise le Championnat et la Coupe du Sénégal. «C’est un signal pour nous. Ce match va nous permettre de préparer les rencontres qu’on aura à jouer contre le Slbc.». Ce match test est en tout cas plein d’enseignement. Le tournoi international a, toutefois, des points positifs. L’intégration africaine, la mise en jambes et la préparation pour les plays-off et la Coupe du Sénégal.
Poussées par un sixième homme à l’humeur sarcastique, elles se sont généreusement dépensées sur le terrain crevassé du Pavillon A. Une ambiance festive bien furtive. Car à l’animation inaugurale prendra le relais de soirées moroses passées à Marius Ndiaye, où l’organisateur, le Duc, a vécu un échec cuisant sur le plan de la mobilisation. Avec comme décor des chaises vides. Quelques essaims de supporters éparpillés dans Marius Ndiaye. Point d’ambiance. Même si les supporters Nigérians tentent de détendre l’ambiance silencieuse et dépeuplée du stadium. Sans garnir la salle. Les Etudiants et leur armée jaune sont aussi invisibles. Le doigt est pointé sur la miniaturisation du Comité d’organisation où un groupuscule de cinq personnes pilote le tournoi. Les supporters sont absents, mais le jeu a par moment comblé le vide de spectacle et l’ambiance électrique connu des Etudiants. Des hommes en jaune qui ont déserté Marius Ndiaye. Les explications fusent de partout pour expliquer ce fiasco. «Ils sont en période d’examen», se persuade un organisateur. Un argument bien léger vu le calendrier réajusté des examens en cours à l’Ucad.
Sur le parquet, pour avoir été battu en finale par le Saint-louis basket club (49-59-), le Duc perd son challenge. Les Duchesses ratent leur retour sur la scène africaine. Leur coach se rabat sur le mérite organisationnel. Dame Diouf : «C’est un mérite d’organiser. De plus au plan relationnel, il y a une bonne communion entre les clubs sénégalais et étrangers», se félicite-t-il. Et sans se démonter de sa défaite en finale, le coach « jaune-noir » positive : «Organiser un tournoi nous permet d’avoir des matches de bon niveau et de tirer les leçons de ces rencontres. L’objectif n’est pas toujours de gagner. On voudrait bien gagner, mais si on ne gagne pas cela ne veut pas dire que c’est négatif.» Dame revient sur les erreurs de son équipe. «Nous avons péché dans notre organisation. L’équipe est dans une mini-reconstitution. On avait une joueuse essentielle (Aminata Diop) qu’on a perdue. Maintenant on essaie de compenser son départ, de trouver d’autres organisations et de reconstituer une autre équipe en repositionnant d’autres joueuses à d’autres postes. Le tournoi est venu à son moment.»
La voix étreinte par l’émotion et la défaite, Dame Diouf mûrit son plan contre le Slbc, leader de la poule B du National 1, et qui vise le Championnat et la Coupe du Sénégal. «C’est un signal pour nous. Ce match va nous permettre de préparer les rencontres qu’on aura à jouer contre le Slbc.». Ce match test est en tout cas plein d’enseignement. Le tournoi international a, toutefois, des points positifs. L’intégration africaine, la mise en jambes et la préparation pour les plays-off et la Coupe du Sénégal.
SAISON 2010, A.G DE SLBC A LA CHAMBRE DE COMMERCE DE ST-LOUIS, L’EQUIPE DE PAPE BANDA PASSE LE TEMOIN A BAILA WANE
