D’abord lors de l’Afrobasket masculin à Madagascar où les hommes de Alain Weisz, après un début canon, ont été éliminés en quart de finale par la Côte d’Ivoire. Un échec qui avait poussé le président de la Fédé de basket à porter tous ses espoirs sur les «filles» de Tapha Gaye, revenues fraîchement des Jeux africains de Maputo avec la médaille d’Or au cou. Et qui ambitionnaient de conserver la couronne continentale à Bamako. Là aussi c’est un échec retentissant au bout avec la perte du titre par la bande à Aya Traoré, battue par des Angolaises qui avaient fini de démythifier le jeu sénégalais après avoir concédé deux revers, à Maputo en finale et en match de poule à Bamako face à ces mêmes Sénégalaises.
TANDIAN : «JUSQU’A 3 HEURES DU MATIN ELLES RÉCLAMAIENT LEUR ARGENT»
Mais cette défaite en finale hier à Bamako sera une pilule difficile à avaler, car ayant été marquée par une histoire de primes qui a pollué l’ambiance dans la tanière en pleine nuit, le jour même du match. Comme l’a d’ailleurs révélé le président de la Fédé de basket à nos confrères de la Rfm après le match.
TANDIAN : «JUSQU’A 3 HEURES DU MATIN ELLES RÉCLAMAIENT LEUR ARGENT»
Mais cette défaite en finale hier à Bamako sera une pilule difficile à avaler, car ayant été marquée par une histoire de primes qui a pollué l’ambiance dans la tanière en pleine nuit, le jour même du match. Comme l’a d’ailleurs révélé le président de la Fédé de basket à nos confrères de la Rfm après le match.
«Je n’ai vraiment pas compris le comportement des filles qui ont presque veillé pour réclamer leurs primes. Jusqu’à 3 heures du matin, elles réclamaient leur argent. Et ce qui est plus désolant, c’est que quand on leur a remis l’argent, elles ont exigé que toute la délégation soit payée. Un comportement incompréhensible pour des joueuses qui devaient disputer une finale quelques heures après», déplore Baba Tandian qui pointe un doigt accusateur sur «certaines personnes qui seraient derrière les filles pour les manipuler». Tout en promettant de régler ce problème à son retour à Dakar. Bonjour les déballages.