
Babacar ( Joël) de la JA , l'ami de tout le monde
La semaine qui vient de s'écouler est aussi marquée par la fête du travail (1ER Mai) ou « fête des travailleurs » : le jour où les entreprises rendent grâce à leurs employés, leur permettent de défiler et d'exposer leurs revendications.
Si le basket-ball sénégalais était une entreprise, une catégorie d'hommes seraient fêtés, ces « hommes de l'ombre » enfileraient de beaux costumes, défileraient et exposeraient leurs doléances.
Ils sont rarement visibles dans les stades, pourtant ils ont guidé les premiers pas des champions d'hier et d'aujourd'hui.
Ils sont présents dans tous les terrains ; ils y sont très tôt, quand le soleil fait souffrir les plus résistants, ils peuvent changer de visage selon les terrains, mais ils restent identiques. Ils portent le nom affectueux de Tonton et jouent plusieurs rôles. En plus d'être coach, ils sont éducateurs ; en plus du savoir faire nécessaire sur le parquet, ils inculquent aux jeunes un savoir et un savoir être, ils en font des hommes.
Chaque basketteuse, chaque basketteur est redevable envers cet « homme de l'ombre ». Chaque coach doit reconnaître en lui, l'artisan du produit fini dont il se sert tous les jours.
Cet homme est rarement visible, on se souvient quelquefois de lui. Si le basket était une entreprise, il pourrait vivre décemment de ses primes rendement ou primes d'ancienneté.
Le basket n'est pas une entreprise, mais le basketteur, la basketteuse et le coach d'aujourd'hui lui doivent beaucoup. Le basket-ball sénégalais, les reines couronnées, les rois consacrés, les révélations désignées ne doivent-ils rien à ce travailleur infatigable du basket-ball Sénégalais ?
gelwar@yahoo.fr
Si le basket-ball sénégalais était une entreprise, une catégorie d'hommes seraient fêtés, ces « hommes de l'ombre » enfileraient de beaux costumes, défileraient et exposeraient leurs doléances.
Ils sont rarement visibles dans les stades, pourtant ils ont guidé les premiers pas des champions d'hier et d'aujourd'hui.
Ils sont présents dans tous les terrains ; ils y sont très tôt, quand le soleil fait souffrir les plus résistants, ils peuvent changer de visage selon les terrains, mais ils restent identiques. Ils portent le nom affectueux de Tonton et jouent plusieurs rôles. En plus d'être coach, ils sont éducateurs ; en plus du savoir faire nécessaire sur le parquet, ils inculquent aux jeunes un savoir et un savoir être, ils en font des hommes.
Chaque basketteuse, chaque basketteur est redevable envers cet « homme de l'ombre ». Chaque coach doit reconnaître en lui, l'artisan du produit fini dont il se sert tous les jours.
Cet homme est rarement visible, on se souvient quelquefois de lui. Si le basket était une entreprise, il pourrait vivre décemment de ses primes rendement ou primes d'ancienneté.
Le basket n'est pas une entreprise, mais le basketteur, la basketteuse et le coach d'aujourd'hui lui doivent beaucoup. Le basket-ball sénégalais, les reines couronnées, les rois consacrés, les révélations désignées ne doivent-ils rien à ce travailleur infatigable du basket-ball Sénégalais ?
gelwar@yahoo.fr