
vous n’êtes pas à la plage pour un bain de minuit ni dans Dakar by night mais bien dans un stadium. Un stade qui porte un nom sénégalais, Marius NDIAYE. Je me demande bien ce qui prend les organisateurs de la fédération de sénégalaise de basket-ball.
Depuis quelques temps, lors des finales, on a droit à des tableaux de ce genre. Pour la finale du week end dernier, il était question d’assister, de force, au détournement de jeunes gamins par un pseudo danseur habillé et coiffé comme un rescapé d’une attaque de fauve.
Pour la finale de ce weekend, les belles de nuits de Dakar ne se seraient pas dépaysées, si elles avaient effectué un tour au stade. Le temple du basket n’avait rien à envier aux boites de nuit chaudes de Ndakaru. Pour débuter la fête, Karim, le Mc de la finale, nous annonce un groupe de reggae. C’est le début du commencement : une jeune fille apparait accompagnée de deux hommes assez correctement habillés par rapport à elle. La petite, elle, a du mal à se mouvoir dans son pantalon jean qui lui sera surement retiré par son petit frère, à l’heure du sommeil. A la mi-temps le bouchon est poussé un peu plus loin. Un groupe d’une culture autre que la nôtre nous rappelle combien nous sommes différents.
Walaay, nous avons la preuve, par l’image, que la décence et la correction ne sont pas les choses les mieux partagées au monde. Une chose reste incontestable, aucun membre de la fédé, aucune autorité présente, aucun spectateur, n’aurait aimé voir sa sœur, sa fille… dans cette tenue, sur cette musique, devant ces milliers d’observateurs. Ne pouvait-on pas concocter autre chose ? Était-ce le seul programme possible ?
Dans toute cette histoire, ce que je n’arrive pas à saisir, c’est ce qui a motivé le choix porté sur la promotion de l’indécence des aguicheuses alors que le mini-basket a, dans la même période, besoin de soutiens et de promotions. Qui est à l’origine de cela ? J’ose croire que ce n’est pas les organisateurs de la fédé. Si cela vient d’eux, j’ose présumer que c’est une erreur (erreur dans le sens précis d’acte regrettable et regretté). Je ne sais pas d’où ça vient ni de qui sont ces initiatives mais une chose est sûre, elles s’inscrivent totalement en faux par rapport aux valeurs véhiculées par les éducateurs de la famille du basket.
Pour un match de basket-ball, de grâce, à la mi-temps servez nous une chose relative au basket. Si vous êtes en panne d’inspiration, limitez vous à nous servir des spectacles conformes à notre culture. Pensez-y ! Marius n’est pas Nirvana. Sabab !
Depuis quelques temps, lors des finales, on a droit à des tableaux de ce genre. Pour la finale du week end dernier, il était question d’assister, de force, au détournement de jeunes gamins par un pseudo danseur habillé et coiffé comme un rescapé d’une attaque de fauve.
Pour la finale de ce weekend, les belles de nuits de Dakar ne se seraient pas dépaysées, si elles avaient effectué un tour au stade. Le temple du basket n’avait rien à envier aux boites de nuit chaudes de Ndakaru. Pour débuter la fête, Karim, le Mc de la finale, nous annonce un groupe de reggae. C’est le début du commencement : une jeune fille apparait accompagnée de deux hommes assez correctement habillés par rapport à elle. La petite, elle, a du mal à se mouvoir dans son pantalon jean qui lui sera surement retiré par son petit frère, à l’heure du sommeil. A la mi-temps le bouchon est poussé un peu plus loin. Un groupe d’une culture autre que la nôtre nous rappelle combien nous sommes différents.
Walaay, nous avons la preuve, par l’image, que la décence et la correction ne sont pas les choses les mieux partagées au monde. Une chose reste incontestable, aucun membre de la fédé, aucune autorité présente, aucun spectateur, n’aurait aimé voir sa sœur, sa fille… dans cette tenue, sur cette musique, devant ces milliers d’observateurs. Ne pouvait-on pas concocter autre chose ? Était-ce le seul programme possible ?
Dans toute cette histoire, ce que je n’arrive pas à saisir, c’est ce qui a motivé le choix porté sur la promotion de l’indécence des aguicheuses alors que le mini-basket a, dans la même période, besoin de soutiens et de promotions. Qui est à l’origine de cela ? J’ose croire que ce n’est pas les organisateurs de la fédé. Si cela vient d’eux, j’ose présumer que c’est une erreur (erreur dans le sens précis d’acte regrettable et regretté). Je ne sais pas d’où ça vient ni de qui sont ces initiatives mais une chose est sûre, elles s’inscrivent totalement en faux par rapport aux valeurs véhiculées par les éducateurs de la famille du basket.
Pour un match de basket-ball, de grâce, à la mi-temps servez nous une chose relative au basket. Si vous êtes en panne d’inspiration, limitez vous à nous servir des spectacles conformes à notre culture. Pensez-y ! Marius n’est pas Nirvana. Sabab !