Monsieur Vernerey, nous sommes à quelques encablures du coup d’envoi de l’Afrobasket ici au Mali, comment vivez-vous la pression ?
La pression, ce n’est pas le mot qui convient, nous avons beaucoup d’expérience dans l’entraînement, on sait aujourd’hui qu’il y a un très grand d’engouement ici au Mali. Nous sommes impressionnés par l’état d’esprit qui règne autour de l’Afrobasket. On sait qu’on a une équipe bien préparée et nous ferons tout pour rendre fiers les Maliens. On n’a pas peur de nos adversaires. Quand on joue à domicile cela doit se sentir sur le terrain avec un bon bilan.
Alors, la compétition, sous quel angle vous la placez ?
Notre objectif, c’est d’arriver jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à la finale. Il y a 8 matches à jouer et les 3 derniers seront normalement plus durs physiquement. Cela sous-entend que l’équipe va effectivement de monter en puissance. La préparation physique a été faite en ce sens. Avec le respect qu’on doit à tous nos adversaires en phase de poules, il faut véritablement qu’on soit capable de progressivement au fil des matches.
Comment s’est passée la phase de préparation ?
On a fait une préparation très intense avec un premier stage en France pour poser les contenus, les règles de vie, se mettre à la même page. Après, on a enchaîné avec un mini tournoi en Tunisie pour quelques réglages. Et on a terminé par un autre stage en France avec des matches amicaux de grande valeur. Ceux-ci qui nous ont permis de jouer contre des équipes de haut niveau. Ces équipes nous ont posé bien des difficultés et c’est ce qu’on voulait pour régler certains détails importants.
Parlez-nous de l’état d’esprit actuel du groupe et du mode de la sélection définitive ?
L’état d’esprit du groupe est bon. En ce qui concerne la sélection définitive, elle a été à la fois dure et cruelle. Les joueuses avaient des qualités : générosité et enthousiasme. Je dois vous dire que la sélection n’a pas été facile. C’est surtout une question d’équilibre sur les postes de jeu. On a tenu compte de la complémentarité entre les joueuses. Certaines joueuses apportent des qualités à un moment du match. C’est celles qui ont été choisies par une manière préférentielle. Mais je vous avoue que c’était très difficile d’écarter d’autres filles. Ainsi va le sport.
Si on demandait de faire le portrait-robot de Hamchétou Maïga, considérée aujourd’hui au Mali comme la plus expérimentée, la plus âgée, bref, un leader ?
Hamchétou aura un rôle tout particulier à jouer. Elle est la capitaine, la chef d’orchestre, la guide. Hamchétou revient d’une maternité et elle retrouve petit à petit sa forme. Elle est encore à la recherche de sa meilleure position physique. Mais sa force réside au niveau de son mental. Elle est capable de tout sur le terrain.
L’heure n’est plus à la pression, est-ce que la peur existe ?
Dès qu’on aborde une compétition de très haut niveau, il faut juste avoir un peu peur pour ne pas sous-estimer les enjeux. Trop de peur aussi tue la disponibilité que doit avoir les joueuses sur toutes les informations pendant le match. On respecte nos adversaires et on veut mieux faire. Le mot d’ordre c’est la confiance. Les joueuses sont prêtes et vont donner le meilleur d’elles-mêmes.
Vous avez un dernier mot en tant que coach ?
Je suis confiant. Aux joueuses de mettre le Mali au-dessus. Les Aigles doivent voler haut dans le ciel. J’espère qu’elles sortiront vainqueurs de cet Afrobasket féminin.
La pression, ce n’est pas le mot qui convient, nous avons beaucoup d’expérience dans l’entraînement, on sait aujourd’hui qu’il y a un très grand d’engouement ici au Mali. Nous sommes impressionnés par l’état d’esprit qui règne autour de l’Afrobasket. On sait qu’on a une équipe bien préparée et nous ferons tout pour rendre fiers les Maliens. On n’a pas peur de nos adversaires. Quand on joue à domicile cela doit se sentir sur le terrain avec un bon bilan.
Alors, la compétition, sous quel angle vous la placez ?
Notre objectif, c’est d’arriver jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’à la finale. Il y a 8 matches à jouer et les 3 derniers seront normalement plus durs physiquement. Cela sous-entend que l’équipe va effectivement de monter en puissance. La préparation physique a été faite en ce sens. Avec le respect qu’on doit à tous nos adversaires en phase de poules, il faut véritablement qu’on soit capable de progressivement au fil des matches.
Comment s’est passée la phase de préparation ?
On a fait une préparation très intense avec un premier stage en France pour poser les contenus, les règles de vie, se mettre à la même page. Après, on a enchaîné avec un mini tournoi en Tunisie pour quelques réglages. Et on a terminé par un autre stage en France avec des matches amicaux de grande valeur. Ceux-ci qui nous ont permis de jouer contre des équipes de haut niveau. Ces équipes nous ont posé bien des difficultés et c’est ce qu’on voulait pour régler certains détails importants.
Parlez-nous de l’état d’esprit actuel du groupe et du mode de la sélection définitive ?
L’état d’esprit du groupe est bon. En ce qui concerne la sélection définitive, elle a été à la fois dure et cruelle. Les joueuses avaient des qualités : générosité et enthousiasme. Je dois vous dire que la sélection n’a pas été facile. C’est surtout une question d’équilibre sur les postes de jeu. On a tenu compte de la complémentarité entre les joueuses. Certaines joueuses apportent des qualités à un moment du match. C’est celles qui ont été choisies par une manière préférentielle. Mais je vous avoue que c’était très difficile d’écarter d’autres filles. Ainsi va le sport.
Si on demandait de faire le portrait-robot de Hamchétou Maïga, considérée aujourd’hui au Mali comme la plus expérimentée, la plus âgée, bref, un leader ?
Hamchétou aura un rôle tout particulier à jouer. Elle est la capitaine, la chef d’orchestre, la guide. Hamchétou revient d’une maternité et elle retrouve petit à petit sa forme. Elle est encore à la recherche de sa meilleure position physique. Mais sa force réside au niveau de son mental. Elle est capable de tout sur le terrain.
L’heure n’est plus à la pression, est-ce que la peur existe ?
Dès qu’on aborde une compétition de très haut niveau, il faut juste avoir un peu peur pour ne pas sous-estimer les enjeux. Trop de peur aussi tue la disponibilité que doit avoir les joueuses sur toutes les informations pendant le match. On respecte nos adversaires et on veut mieux faire. Le mot d’ordre c’est la confiance. Les joueuses sont prêtes et vont donner le meilleur d’elles-mêmes.
Vous avez un dernier mot en tant que coach ?
Je suis confiant. Aux joueuses de mettre le Mali au-dessus. Les Aigles doivent voler haut dans le ciel. J’espère qu’elles sortiront vainqueurs de cet Afrobasket féminin.