Excellentes observations faites par Arlindo Macedo avec lequel j'ai eu plusieurs conversations sur le basketball en Afrique.
L'investissement et le travail de développement se réduit au court terme. Les raisons étant les situations socio-politiques précaires qui amènent le citoyen "normal" et le citoyen du basket (gérant, technicien, et public) à ne pas voire d'espérance dans la planification sur le long terme.
L'Angola est le vrai éxemple à suivre et à cloner pour le développement du sport du panier africain. Six consignes: Planification, Structure, Installations sportives dignes (plus de bètons et asphalte svp), Formation,
Engamenent des institutions et du secteur privé africains et le Respect pour le
produit africain.
Une pair de chaussures de basket coute entre 50-150 € pour une famille
africaine moyenne (2 parents, et 3-4 enfants) qui, en général, ne gagne pas
plus de 120 € par moi. Avoi à depenser cet argent pour unseul embre de la
famille en chaussures de basket face au priorités incontournables de la
manutention, éducation, soins médicaux, logement, transports, et épargne,
etc. est une abérration.
Cette même paire de chaussures durerait 10 mois d'entrainement et de
compétition sur une surface sportive synthètique sinon en bois. Cela est un
devoir de gestion évidente pour le basketball africain. Nous voyons tous ce que
cela signifie pour les familles et pour les fédérations ainsi que les clubs.
La formation éfficaces et constantes de nos formateurs est un devoir et un
engagement incontournable. L'école angolaise une fois de plus en est la preuve
et la fierté africaine.
Ce fût admirable de voir les entraineurs africains qui ont mené leurs
sélections nationales à la tête du Championnat d'Afrique de Nations en
Angola 2007 (Cap Vert, Tunisie, Cameroun et Angola).
ce serait beuacoup plus éfficace pour le développement et l'engouement du
basketball fricain si les tournis préparatoires pourraient être organisés sur
place à domicile et que nous pourrions tous (arbitres, entraineurs, formatuers,
journalistes, dirigeants, et publics) jouir du basket de haut niveau en recevant
à domicile les sélections de la Serbie. de l' Argentine, d'Espagne, de la
Chine, de la Lithuanie et des États Unis si il n'y avait aucun doute que ces
´slections pourraient venir joueur sur des terrains adéquats dans des
installations sportives (salles, gyms) comme nous pourrions en trouver à Buenos
Aires, Belgrade, Villeurbanne, Barcelone, ou à Luanda).
Soyons fièrs du produit africains et travaillons y.
L'investissement et le travail de développement se réduit au court terme. Les raisons étant les situations socio-politiques précaires qui amènent le citoyen "normal" et le citoyen du basket (gérant, technicien, et public) à ne pas voire d'espérance dans la planification sur le long terme.
L'Angola est le vrai éxemple à suivre et à cloner pour le développement du sport du panier africain. Six consignes: Planification, Structure, Installations sportives dignes (plus de bètons et asphalte svp), Formation,
Engamenent des institutions et du secteur privé africains et le Respect pour le
produit africain.
Une pair de chaussures de basket coute entre 50-150 € pour une famille
africaine moyenne (2 parents, et 3-4 enfants) qui, en général, ne gagne pas
plus de 120 € par moi. Avoi à depenser cet argent pour unseul embre de la
famille en chaussures de basket face au priorités incontournables de la
manutention, éducation, soins médicaux, logement, transports, et épargne,
etc. est une abérration.
Cette même paire de chaussures durerait 10 mois d'entrainement et de
compétition sur une surface sportive synthètique sinon en bois. Cela est un
devoir de gestion évidente pour le basketball africain. Nous voyons tous ce que
cela signifie pour les familles et pour les fédérations ainsi que les clubs.
La formation éfficaces et constantes de nos formateurs est un devoir et un
engagement incontournable. L'école angolaise une fois de plus en est la preuve
et la fierté africaine.
Ce fût admirable de voir les entraineurs africains qui ont mené leurs
sélections nationales à la tête du Championnat d'Afrique de Nations en
Angola 2007 (Cap Vert, Tunisie, Cameroun et Angola).
ce serait beuacoup plus éfficace pour le développement et l'engouement du
basketball fricain si les tournis préparatoires pourraient être organisés sur
place à domicile et que nous pourrions tous (arbitres, entraineurs, formatuers,
journalistes, dirigeants, et publics) jouir du basket de haut niveau en recevant
à domicile les sélections de la Serbie. de l' Argentine, d'Espagne, de la
Chine, de la Lithuanie et des États Unis si il n'y avait aucun doute que ces
´slections pourraient venir joueur sur des terrains adéquats dans des
installations sportives (salles, gyms) comme nous pourrions en trouver à Buenos
Aires, Belgrade, Villeurbanne, Barcelone, ou à Luanda).
Soyons fièrs du produit africains et travaillons y.